Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 12:49

Le Front des luttes appelle tous les citoyens, toutes les citoyennes à se joindre à la grande manifestation nationale qui se tiendra contre ce

 traité austéritaire.

 

Dimanche 30 septembre 

 13h30

de la place de la Nation à la place d’Italie

 

422652_3744068001907_758749909_n.jpg

  

 

Non à l’austérité permanente

 

Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe !

 

Dimanche, Paris verra défiler le premier grand cortège de l’année scolaire 2012-2013. De très nombreux mouvements politiques et syndicaux ont appelé à se mobiliser contre la ratification du traité budgétaire européen (Traité pour la stabilité, la coordination, la gouvernance de la zone euro), rebaptisé pour l’occasion "traité d’austérité".

Le rassemblement risque d’être de grande ampleur. En témoigne le nombre d’organisations ayant appelé à manifester. Pour les syndicats : CFDT CFF, CGT Finances, CGT Educ’action, Union régionale Ile de France CGT, CGT FSA, SNESUP-FSU, Union syndicale Solidaires... Mais aussi des associations (Les Économistes Atterrés, Attac, Les efFRONTé-e-s, Mémoire des luttes, les Indignés...), notamment féministes, et des partis politiques : NPA, Front de gauche... 

 

PARCOURS DE LA MANIFESTATION

A Paris, rendez-vous dimanche 30 septembre 2012 à 13h30 sur la place de la Nation. Le cortège prendra ensuite la direction de la place d’Italie.

A noter : des départs en cars et en trains ont été organisés quasiment dans toute la France par le Parti communiste, par le Parti de gauche et par le collectif Stop austérité.

 

 

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 14:29
fdgcrepy
 

 

Pacte budgétaire européen:

 

« L’heure de vérité »

 

 

En octobre, le parlement examinera le projet de loi ratifiant le Traité pour la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance (TSCG) qui marquera un pas de plus dans la dérive austéritaire de l’Union Européenne. Ce texte implique une politique d’austérité à perpétuité : c’est un moyen pour les libéraux de placer leur politique au-dessus des votes et d’échapper ainsi à la sanction populaire. Pourtant, cette politique est injuste socialement et absurde d’un point de vue économique.C’est pourquoi le Front de Gauche se mobilise, aux côtés des associations, organisations syndicales et politiques engagées pour faire échec à ce traité et pour exiger un référendum.
 
Que se cache-t-il derrière le traité budgétaire européen ?
Pour le savoir, pour en débattre
Réunion d’information sur l’enjeu du TSCG
Avec Bernard Teper
 Co-animateur du Réseau Éducation Populaire (REP) , Co-auteur de "Néolibéralisme et crise de la dette" et de "Contre les prédateurs de la santé"Membre du conseil scientifique d’ATTAC
 
 Jeudi 27 septembre 20h00
Salle des Fêtes - Crépy en Valois - rue Nationale
 
 
                              Animée par les militants du Front de Gauche du Valois
Texte du traité et documents à votre disposition
 
bandeau1
Partager cet article
Repost0
25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 22:22

  Manifestation contre la fermeture de PSA Aulnay

 

Samedi 29 septembre, dès 14 heures à Aulnay sous Bois

dans le quartier de la Rose des Vents (Cité des 3000)

Grand meeting unitaire de lutte

"L'emploi sacrifié, ce n'est pas une fatalité: Vivre, travailler et produire en Seine Saint Denis, c'est possible"

A l'initiative de la CGT 93, la CFDT, FO 93, UNSA 93, la FSU 93 et Solidaires 93

A Aulnay sous Bois  

 

246590_10151426922389418_1368574809_n.jpg

Partager cet article
Repost0
25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 22:03

Plusieurs milliers d'indignés espagnols manifestaient mardi soir autour du Congrès des députés à Madrid, transformé en camp retranché derrière un dispositif policier ultra-renforcé, pour dénoncer une démocratie "séquestrée", assujettie "aux marchés financiers".
"Mains en l'air, c'est un hold-up", criait la foule massée face aux policiers casqués et aux barrières bleues dressées dans les rues menant au Congrès, reprenant le cri de ralliement des manifestations qui se répètent contre la politique d'austérité du gouvernement conservateur.

Non aux privilèges des politiciens", "Démocratie économique", proclamaient des pancartes.
Plusieurs organisations et mouvements d'indignés avaient convoqué cette manifestation via les réseaux sociaux.
"Ils nous ont volé notre démocratie. Nous avons perdu la liberté, notre Etat providence avec les coupes dans la santé et l'éducation. J'ai deux filles et cette année j'ai dû payer beaucoup plus pour leurs études", explique Soledad Nunez, une commerçante de 53 ans venue de Castille-et-Leon, dans le nord de l'Espagne.
Cette manifestante porte deux oeillets rouges et une pancarte avec les mots: "Tu crois vraiment qu'en croisant les bras, tout cela se règlera?"
"S'il n'y pas de consommation, je ne peux pas vendre", ajoute-t-elle, en racontant que les clients se font plus rares dans son magasin à cause des mesures d'austérité qui portent atteinte au pouvoir d'achat des Espagnols.
"La démocratie est séquestrée. Le 25 septembre nous allons la sauver", expliquait le manifeste de l'une des organisations qui appelait à se mobiliser sur son site, Coordinadora #25S.
Bénéficiant d'un plan d'aide européen pour ses banques depuis juin et luttant au prix d'une cure de rigueur historique pour réduire son déficit public, le gouvernement conservateur a adopté depuis décembre des mesures d'austérité qui ont provoqué un profond mécontentement.
"Toute une série de mesures ont été adoptées par décret, sans qu'elles ne passent par les députés", dénonçait une porte-parole de Coordinadora #25S.
 
579686 432778190090927 1699784217 n

307732 423288397727522 1721148797 n

229904_362405293840411_76037013_n.jpg196619_362407360506871_93918650_n.jpg

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 22:40
 
Départs de cars, trains et covoiturages pour la manif du 30
bus_30sept.jpg
 
Bus, trains, co-voiturages, comment vous rendre à Paris pour la manifestation du 30 septembre :
 
 ICI
  ________________________________________________________________________________________________
Pacte budgétaire : interpellez vos députés
thCAFG187K
 
Vous pouvez interpeler les députés en utilisant le lien
ci-dessous :
 
ICI
 
 
Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 21:41

Texte d’analyse de la LDH


Le texte en question est un traité international et non un traité européen. Son adoption ne requiert pas l’unanimité des Etats membres ; le soutien de douze pays suffira à sa mise en application. Ce système exclut toute garantie de contrôle du Parlement européen. Elaboré pour mettre en place des prêts européens à des pays n’ayant plus d’accès à un taux raisonnable au marché pour financer leurs déficits publics, le traité impose à ces pays des calendriers automatiques, contraignants et extrêmement rapides pour des retours aux équilibres macroéconomiques. Un simple retard de ces rythmes d’ajustement se traduit par des sanctions financières également automatiques et immédiates. Cette mécanique est tout entière construite autour d’une pseudo-rationalité économique, elle traduit un primat du libéralisme économique qui exige des gouvernements qu’ils portent atteinte aux droits sociaux, et ouvre la voie à de graves régressions démocratiques.

C’est cette double régression des droits – sociaux et démocratiques – qui est à l’œuvre en Grèce, au Portugal et en Espagne. Elle se traduit partout par une explosion de pauvreté, un regain d’exclusion, des limitations portées à la délibération démocratique. Elle conduit de surcroît à une impasse économique, et accroît les risques de dérives politiques. Alors que les questions d’intérêt général au niveau européen sont souvent occultées ou instrumentalisées dans des luttes de pouvoir nationales, la crise économique et sociale peut alimenter des dérives antidémocratiques dans les opinions publiques. Nul n’imagine clairement le scénario d’un éclatement possible de la zone euro, ni l’ampleur de ses répercussions, probablement très négatives, y compris pour les pays les plus prospères de l’Union.

Pour toutes ces raisons, la LDH s’inquiète de cette réponse structurelle aux déséquilibres économiques de la zone euro. De récentes décisions de financer au niveau européen des investissements à potentiel économique de croissance sont, de fait, bienvenues ; mais elles ne porteront leurs fruits qu’au fil des années, alors que l’angoisse sociale se développe dans le présent. Ce décalage dans le temps est très préoccupant et significatif, une fois de plus, d’une certaine conception qui fait du social un sous-produit de la politique économique.

Le traité de Lisbonne affirmait pourtant avec justesse que « le projet européen vise au bien-être de nos sociétés [et] promeut la cohésion économique, sociale et territoriale, et la solidarité entre les Etats membres ». Cela est encore plus vrai dans la crise actuelle. La Ligue des droits de l’Homme souhaite que les politiques mises en place soient à la hauteur de cet objectif de cohésion et de solidarité et répondent directement, et dans l’urgence, aux situations sociales dramatiques que produit la crise. Au risque que l’avenir européen ne soit pas partagé par l’ensemble de ses résidents.

Considérant que, dans le temps court qui est celui des marchés financiers, une politique économique automatique symbolisée par la « règle d’or » ne produit que crise et instabilité, elle affirme que c’est la démocratie qui donne de la stabilité et que la construction européenne n’a d’avenir que dans l’effectivité de l’accès aux droits fondamentaux, économiques, sociaux et démocratiques, dans la mise en œuvre de solidarité par-delà les frontières nationales.

La Ligue des droits de l’Homme estime qu’il y a grand besoin de débats publics et entend y prendre part à partir de ses préoccupations : la défense des droits sociaux et démocratiques, la solidarité. Au-delà d’une approche exclusivement centrée sur l’acceptation ou le refus du TSCG, vision qui aurait le défaut majeur de mélanger des réponses politiques fort hétérogènes, elle travaillera à mettre en débat les conditions d’une construction européenne fondée sur le progrès social et sur l’égalité des droits civiques et sociaux, à l’opposé des politiques d’austérité et des accords de compétitivité, qui ont en général pour conséquence une concurrence destructrice de tous contre tous.

Car pour avoir des chances de réussir, une politique de sortie de crise doit être comprise et soutenue par les citoyens, rendus capables de faire démocratiquement le bilan des efforts et de leur répartition dans le temps et entre les catégories sociales d’une part, des finalités et des résultats attendus d’autre part. C’est ainsi qu’elles et ils seront disponibles pour y contribuer, et non par la coercition d’une politique automatique obligatoire qui produit toujours plus de privilèges pour les plus riches et toujours moins de droits pour les autres. Un débat citoyen sur la crise de l’euro, celle de l’Europe et sur les moyens d’en sortir est donc éminemment nécessaire. La Ligue des droits de l’Homme entend y tenir toute sa place.

 

LDH.jpg

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 21:21

 

Pour Jacques Généreux, professeur à Sciences-Po, qui publie une version enrichie de « Nous, on peut ! Manuel anticrise à l'usage du citoyen », la « règle d'or » est une ineptie idéologique doublée d'une mise en cause de la démocratie.


(Jacques Généreux - IBO/SIPA)
(Jacques Généreux - IBO/SIPA) 
  
Le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) institue la fameuse règle d’or de l’équilibre budgétaire. Elle impose aux Etats d’inscrire dans leur loi, et de préférence dans leur Constitution, l’obligation de limiter à 0,5 % du PIB leur déficit structurel, c’est-à-dire le déficit hors variations conjoncturelles. La Commission européenne est chargée de mesurer le niveau des déficits structurels et de signaler tout dépassement illégal. Si un pays viole la règle d’or, les autres Etats signataires du TSCG peuvent, sur proposition de la Commission, saisir la Cour de justice européenne qui a la possibilité d’imposer au pays concerné une amende allant jusqu’à 0,1 % du PIB (2 milliards d’euros pour la France, par exemple).
Cette règle d’or est d’abord une renonciation pure et simple à la démocratie. Fidèles au penchant dictatorial qui les inspirait déjà dans l’élaboration du traité constitutionnel européen, puis dans la ratification sans référendum d’un traité identique à celui rejeté par trois peuples souverains, les gouvernements signataires du TSCG veulent que, désormais, le vote des électeurs n’ait plus aucune prise sur l’orientation rigoriste de la politique budgétaire. Quel que soit le résultat des élections à venir, un gouvernement ne pourra appliquer que la politique budgétaire unique fidèle à un dogme néolibéral unique. Une autre politique sera considérée comme un délit punissable par des magistrats internationaux.

La règle d’or est ensuite une règle des ânes en économie politique ! Imposer un quasi-équilibre permanent des comptes publics, en dehors des déficits conjoncturels engendrés par les récessions, revient à considérer qu’en temps normal toute dépense publique supérieure aux recettes courantes est un mal en soi, que l’endettement est en soi un moyen de financement condamnable ! C’est là évidemment une ineptie. Sans dette, les économies modernes n’existeraient tout simplement pas. Dans toute économie développée, le secteur des entreprises, considéré globalement, est en déficit permanent, en raison des dépenses d’investissement étalées dans le temps.

Ce déficit n’apparaît pas dans la comptabilité privée, car celle-ci n’inscrit pas en charges de l’année la totalité des dépenses engagées dans l’année : les investissements sont répartis sur plusieurs exercices et seule une fraction des sommes investies est comptée en charges de l’exercice en cours (l’amortissement). En revanche, les règles de la comptabilité publique exigent l’inscription au budget de toutes les sommes dépensées par l’Etat dans l’année. Appliquez cette convention aux entreprises privées et, alors, celles-ci sont en déficit permanent, quand tout va bien, c’est-à-dire quand elles investissent.

On ne parle jamais d’une « dégradation » des comptes privés quand les dépenses d’investissement creusent le déficit privé. Or la seule différence entre ce déficit privé et son jumeau public est de n’être pas appelé « déficit ». Si le déficit et l’endettement privé peuvent jouer un rôle positif pour l’économie nationale, il en va de même pour la dette publique finançant les investissements publics. Si l’on se réjouit de voir nos entreprises investir et dépenser dans l’année plus d’argent qu’elles n’en gagnent, il n’y a aucune raison économique de s’alarmer quand une administration publique étale ses dépenses d’investissement dans le temps.

Il y a en revanche une vraie raison politique, à peine masquée, derrière la règle d’or. Ses partisans ne veulent pas d’un Etat qui persiste à investir dans l’éducation, la santé, la recherche, le logement, les transports collectifs, la sécurité, etc. Ils souhaitent que toutes ces activités productives soient confiées à des entreprises privées, pour étendre la part de la vie sociale qui est ouverte à la libre course aux profits marchands. Tel est le projet strictement politique que d’aucuns tentent de maquiller en bon sens économique. Mais le fard appliqué ici pour maquiller la réalité est vraiment trop grossier pour passer inaperçu. D’autant que la règle d’or est une ânerie économique pour une autre raison encore.

Si, par malheur, le TSCG entrait effectivement en vigueur et si les gouvernements européens s’efforçaient vraiment de ramener leur solde structurel vers l’équilibre – tous ensemble dans une Europe déjà largement touchée par la récession –, ils ne réussiraient qu’à provoquer une dépression durable et générale dans l’UE et, ce faisant, ils n’atteindraient jamais leur objectif d’équilibre budgétaire.
Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 20:57
Prière socialiste

Est-il possible de réduire le déficit du budget de la France à 3 % en 2013, comme s’y est engagé François Hollande ?
« Je pense que c’est intenable. » Qui le dit ? Le socialiste Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, quatrième personnage de l’Etat.

Notez que c’est la première fois qu’un haut dignitaire du régime (comme on dit quand on parle de pays plus exotiques) nous tient ce discours, que répètent pourtant depuis des mois de très nombreux économistes et pas tous réputés pour être d’affreux anti-libéraux ou (pire) d’infréquentables anti-capitalistes. On progresse quand le doute gagne le cœur de l’Etat.

Mais le plus intéressant dans les propos de numéro 4 c’est la suite de ce qu’il a déclaré au « Forum » Radio J : 3 % il « pense que c’est intenable mais ce n’est pas à la France de le dire » (je souligne). Donc le président de l’Assemblée nationale, garant de par cette fonction des droits des élus de la nation [1], nous explique tranquillement qu’il ne faut pas que nos élus la ramènent sur ce sujet. Et pourquoi donc devraient-ils se taire devant une politique imbécile ? Pourquoi le gouvernement devrait-il exécuter cette politique folle sans se poser de questions ?
Parce que… Parce que cela pourrait donner l’impression que la France ne tiendra ni ses engagements ni sa parole, explique-t-il, et alors « nous aurions à le payer cher au niveau de la gestion de notre dette et de l’effort financier ».
Je traduis pour ceux qui n’auraient pas compris l’implicite aveu contenu dans la crainte bartolonesque : si notre pays s’écarte du droit chemin, fixé en juillet 2011 par Nicolas Sarkozy et aussitôt accepté par le candidat socialiste qui allait lui succéder, les marchés vont nous tomber dessus à grands coups de taux d’intérêts usuraires. Si l’on ne veut pas attirer l’attention de ces rapaces, mieux vaut éviter de la moufter.

Un homme, reconnaît Claude Bartolone, peut intercéder en notre faveur auprès de ces sacro-saints marchés et poser la question de la faisabilité des efforts demandés, sans nous attirer les foudres financières.
Cet homme ce n’est évidemment pas son camarade François (Hollande) qui n’est (plus) que le chef de la province France. Plusieurs règlements et un traité, le TSCG, dont on fait comme s’il était en application alors qu’il n’est pas encore ratifié, ont déjà installé des radars automatiques pour surveiller et encadrer notre politique économique comme le sont les budgets des collectivités locales. Non. L’homme fort qui peut soulager notre fardeau budgétaire, celui vers qui se tournent les prières socialistes, c’est… José Manuel Barroso.
« C’est à la Commission de dire qu’on ne peut pas demander le même effort aux pays européens lorsqu’il y a de la croissance et lorsqu’il n’y en a pas », assure M. Bartolone. Dans un discret appel du pied, celui-ci a invité le président de la Commission à « se poser la question » des 3 %.

Alors que nos socialistes en sont réduits à prier le bon maître de la Commission européenne de faire preuve d’un peu de compassion, pendant combien de temps va-t-on encore nous faire croire que nous n’avons rien abandonné de notre souveraineté budgétaire ?    

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 19:00


 
Le groupe FRONT DE GAUCHE vient de faire voter une motion demandant l'organisation d'un référendum national sur la ratification du nouveau traité qui conditionne l'avenir et ce que nous voulons pour nos territoires, nos départements, notre Région, notre Pays, notre Europe.

  
 
38 POUR
27 CONTRE
38 ABSTENTIONS

VOTE POUR : FRONT DE GAUCHE (groupe de 15 élus), un peu de PS, MRC
CONTRE : PS, UMP
ABSTENTION : EELV, PS,

MOTION VOTEE !!!
images.jpg
Partager cet article
Repost0
21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 18:51

2173519 d5ed4540-0370-11e2-974b-00151780182c 640x280

CLAIROIX, USINE CONTINENTAL, HIER, 19H15.Les Conti ont décidé d’aller en nombre au

prochain rendez-vous fixé par le préfet de l’Oise.

 

Le gouvernement a-t-il lâché les Conti? Une chose est sûre, les Conti de Clairoix ne le lâcheront pas. Alors qu’ils attendent pour le 26 novembre la décision du tribunal des prud’hommes de Compiègne confirmant ou invalidant le motif économique de la fermeture de l’usine de pneus, un courrier signé du ministre du Travail, Michel Sapin, a mis le feu aux poudres. En quelques paragraphes, il explique que la fermeture de l’usine en 2009 était justifiée, « le site ayant la productivité la plus faible et le coût de production le plus élevé ». Il n’en a pas fallu plus pour que le comité de lutte organise une assemblée générale hier. « Ces Montebourg, Duflot, Hamon et même Hollande nous soutenaient quand ils étaient dans l’opposition, ils disaient que Continental n’avait pas le droit de nous priver de nos emplois et, maintenant qu’ils sont au pouvoir, ils retournent leur veste et reprennent l’argumentaire des patrons », insiste Roland Szpirko, fidèle conseiller des Conti, ancien de l’usine Chausson à Montataire.

Ils attendent toujours le reclassement des anciens salariés

Une réunion doit se tenir le 4 octobre avec la direction de Continental et le préfet pour préciser les termes du reclassement de 200 des 600 anciens salariés encore au chômage.
« Nous avons réussi à leur arracher ça, mais le cabinet de reclassement Altédia, mandaté par Continental, n’a contacté personne depuis des mois… » souligne Pierre Sommé, secrétaire du comité de lutte. Alors, les Conti ont décidé d’aller en force et en nombre à ce rendez-vous. « M. Gérard, le directeur France, pense que nous ne sommes plus mobilisés, qu’il nous aura à l’usure. Nous allons lui prouver le contraire! » Par ces mots, Roland Szpirko résume la pensée des 220 Conti présents hier, toujours prêts à défendre leurs intérêts.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog du Front de Gauche de l'Oise Compiègne Crepy-en-Valois
  • : VOUS AUSSI, VOUS POUVEZ PARTICIPER AU FRONT DE GAUCHE Outre les partis et les organisations qui le composent, le Front de Gauche est formé localement d'Assemblées citoyennes locales, largement ouvertes à tous les citoyens. L'assemblée citoyenne de la 5ème circonscription de l’Oise est ouverte à toutes celles et à tous ceux qui veulent radicalement changer la société en participant aux luttes sociales et écologiques, locales, nationales et européennes .
  • Contact

La 5eme circonscription


Didier Porte appelle au 5 mai ! 

ob_eebc22_547482-10151446510808551-346560524-n.jpg

 

Qui sommes nous ?

   La mise en place de cette structure Front de gauche à l’échelle de notre territoire a pour objectif de créer un espace démocratiqueoù chacun est appelé à donner son avis, apporter son regard, son vécu, sur les problématiques inhérentes à nos villes.

L’assemblée citoyenne a pour buts de :

-créer un espace de dialogue et d’initiatives à caractère politique, où l’on se retrouve sur la base d’une dynamique de transformation sociale, écologique et démocratique, et d’une culture de paix ;

-permettre aux citoyen(ne)s, membres ou non d’un parti politique, de participer à la vie citoyenne et politique, dans un objectif de transformation sociale, écologique et démocratique, et d’une culture de paix ;

-participer au succès des candidats soutenus par le Front de Gauche, aux élections locales et nationales.

     

 

oise-circonscriptions legislatives2-pt 0

 

 

Recherche

Notre progamme

 

lhumain dabord

 

Telechargez le programma

programeppp

 

 

 

  NON A L'AUSTERITE ET

AU CHÔMAGE !

UNE ALTERNATIVE

EST POSSIBLE !

IL FAUT GOUVERNER

POUR L'EMPLOI !

 

25 premières mesures

pour changer d'orientation

 

 

 

 

Archives

Nous joindre

 

fdgoise.5cir@yahoo.fr

En recopiant l'adresse ci-dessus 

ou en cliquant sur l'enveloppe

ci dessous si votre ordinateur 

est équipé d'Outlook

(ou logiciel équivalent).

email08-copie-1.gif

 

boutonfacebook

Texte Libre